Arménie : les multiples dangers d’un nationalisme à distance
Une fois de plus, Turquie News tient à rappeler aux extrémistes divers et terroristes intellectuels et en tous genres, qu’en France la liberté d’expression et la liberté de la presse ont une valeur constitutionnelle : elles sont consacrées par la Constitution du 4 octobre 1958 en son préambule. L’article 11 de la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen de 1789 dispose : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi . »
Rappelons-leur également les termes de l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui ont pour objet la protection de la liberté de la presse : « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».
Liberté d’opinion, liberté d’expression, et liberté de presse sont des libertés fondamentales. La Loi du 29 juillet 1881 donne toute liberté aux journalistes d’enquêter et de publier sur tous les sujets. La liberté de la presse n’est pas uniquement la liberté accordée aux journalistes de penser et d’exprimer leurs opinions, il convient de l’associer à un droit fondamental reconnu à tout citoyen : le droit à l’information.
« La liberté de la presse est l’une des principales libertés publiques. C’est une condition nécessaire à l’exercice de la démocratie. Elle participe du droit d’expression et de critique dont disposent tous les citoyens vivant dans les pays démocratiques. »
Ces principes, posés par le Conseil National des Droits de l’Homme, par les déclarations des droits de l’Homme et consacrés par la Constitution, sont donc protégés par la Loi.